Objet : Liste de discussion pour les personnes intéressées par le logiciel libre sur Saint-Denis (93200) (liste à inscription publique)
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[DionyLibre] Fw: Premier bilan de l'utilisation de scratch en classe à Épinay sur Seine
Chronologique Discussions
- From: Vincent-Xavier JUMEL <vxjumel AT april.org>
- To: dionylibre AT april.org
- Subject: [DionyLibre] Fw: Premier bilan de l'utilisation de scratch en classe à Épinay sur Seine
- Date: Tue, 11 Jun 2013 18:47:46 +0200
Je dois voir Yannick demain pour faire un crash test pour samedi.
Ci-joint son retour d'expérience sur ce qu'il a fait en classe. Fred,
cela peut être utile avec le directeur du centre de loisir de Sembat.
Librement,
--
Vincent-Xavier JUMEL GPG Id: 0x2E14CE70 http://thetys-retz.net
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- From: yannick.pedenon AT free.fr
- To: fcouchet AT april.org, Vincent-Xavier JUMEL <vxjumel AT april.org>
- Subject: Premier bilan de l'utilisation de s cratch en classe à Épinay sur Seine
- Date: Fri, 15 Mar 2013 17:42:43 +0100 (CET)
Comme convenu, voici un premier bilan. Je ne me suis pas trop étendu sur les
points positifs et ai plutôt insisté sur les limites puisque c'est en
dépassant ces dernières qu'on pourra améliorer le dispositif. Je reste prêt à
développer, de préférence à l'oral plutôt qu'à l'écrit.
Je termine par un sujet plus politique mais qui reste lié à la possibilité ou
non de pérenniser ce genre de projet.
Après un rapide survol des différents outils, Scratch a été retenu du fait de
son interface "conviviale" et des possibilités qu'il offre.
Au sein de la classe, je tente de mettre en place une ambiance de "coding
goûter", mais sans le goûter :)
Les élèves travaillent par groupes de 2, 3 ou 4 (aujourd'hui, un groupe de 4
me paraît trop gros). Chaque groupe a défini ce qu'il voulait réaliser avec
la possibilité de changer de réalisation en cours de route (eg. le groupe qui
voulait réaliser un "angry birds" a pris conscience de la difficulté de
réalisation).
Les types de projets vont de la présentation d'une histoire à la réalisation
de jeux (casse briques, etc.)
Les élèves procèdent par tâtonnements, passent du temps à observer d'autres
programmes (Et hop, la question du logiciel libre:) et tentent de
programmer...
NB: Avant de demander aux élèves de définir ce qu'ils voulaient réaliser, je
les ai laisser manipuler Scratch sans consigne, cela explique le relativement
faible nombre de séances annoncé.
Le bilan après une demi-douzaine de séances est plutôt positif:
Les élèves sont motivés malgré les difficultés de la tâche; et si les projets
semblent avancer à la vitesse d'un escargot arthritique, ils avancent.
Pour les élèves, ce projet est source de questionnements et d'apprentissages,
y compris dans des domaines n'ayant rien à voir avec l'informatique (eg.
passer d'un texte linéaire à sa représentation sous forme de "tableaux
animés")...
La mise en place de cette "découverte de la programmation" souffre néanmoins
d'un certain nombre de limites:
Sans m'étendre sur ce sujet, je tiens à signaler que la lourdeur des
programmes de l'école primaire limite le temps consacré à ce genre
d'activités et c'est fort dommage... Si le manque de soleil ne m'effrayait
pas autant, je délocaliserais la classe en Finlande :)
La documentation sur scratch ne m'a, à ce jour, pas permis de maîtriser
pleinement ce logiciel (eg. l'onglet variables ainsi que la taille des
fichiers image importables comme objet, etc.)
Ma connaissance de la programmation se limite à une expérience relativement
laborieuse en "turbo pascal" à la fac, il y a 21 ans: je reste une personne
ressource pour les élèves, mais les ressources sont relativement limités...
De plus, la préparation de la classe ainsi que les migrations d'ubuntu 10.4 à
debian squeeze puis wheezy (pour avoir scratch dans les dépôts) m'ont pris
beaucoup de temps, au détriment du reste.
Le travail en informatique est émaillé de nombreux problèmes lié au matériel:
les ordinateurs sous wheezy freeze(nt) relativement souvent et sont plus lent
que sur squeeze.
Sous XFCE, des mises en veillent éteignaient les écran définitivement (même
lorsqu'elles étaient désactivées en passant par l'interface graphique)
Sous LXDE, ça reste lent et ça freeze beaucoup...
Pourtant, au démarrage, le seul "warning" concerne alsa-mixer et on n'utilise
pas de son (de plus, j'ai le même à la maison et ça fonctionne bien).
J'ai tenté de me documenter sur le serveur X sans arriver à grand chose...
J'ai aussi abandonné la lecture de Linux From Scratch, la tâche est ardue, je
manque de temps et sûrement de méthode...
Cette situation est d'autant plus déroutante qu'en live CD avec slitaz, les
ordinateurs sont beaucoup réactif et semblent plus stables (le temps de test
n'est peut-être pas assez long pour être vraiment significatif).
Au sujet du matériel, je me demandais si avec tous les ingénieurs en
informagique et les entreprises adhérentes à l'APRIL, il n'était pas possible
de récupérer des ordinateurs un peu plus récents. Je réponds dès maintenant à
l'idée que c'est à la mairie de s'en charger: j'ai déjà négocié, en faisant
du rentre dedans, le câblage du réseau, un accès à internet, ainsi que la
mise à disposition de 2 ordinateurs récents et d'un vidéo-projecteur.
Je ne pense pas qu'ils accepteront d'aller plus loin. De plus que pour
arriver à cela, il m'a fallut attendre plus de 6 mois un rendez-vous avec le
responsable informatique de la mairie...
Enfin, je crois n'avoir pas trop bien géré mes relations avec la mairie en
n'ayant pas fourni suffisamment de retour sur ce qui a été réalisé. Je
pensais leur fournir un mode d'emploi pour faire passer toutes les écoles
d'Épinay sur du logiciel libre sur le mode de celui réalisé en classe, mais
n'ai pas eu les épaules pour le réaliser, essentiellement par manque de
temps, mais peut-être aussi par manque d'intérêt de leur part.
Je termine avec un sujet qui concerne plus spécifiquement l'APRIL:
La mairie d'Épinay sur Seine dote les écoles de tableaux numériques ainsi que
de matériel informatique pour les classes. Leur choix semble être celui de
tablettes au lieux d'ordinateurs portables... Autrement dit, on se dirige
vers l'utilisation de gadgets où, semble-t-il, on va une fois de plus tenter
de transformer nos élèves en consommateurs passifs au lieu de leur fournir la
possibilité d'un apprentissage sérieux. Je soupçonne en outre le choix de
solutions propriétaires au détriment du libre...
J'apprécierais un soutien pour orienter les choix municipaux vers une
solution plus raisonnable...
J'espère ne pas avoir été trop brouillon et reste ouvert à toute suggestion
pour améliorer tout ça.
Cordialement.
Yannick
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- From: "yannick.pedenon AT free.fr" <ycare8 AT gmail.com>
- To: Vincent-Xavier JUMEL <vxjumel AT april.org>, Frederic Couchet <fcouchet AT april.org>
- Subject: Bilan n°2 des "coding goûter" sur une cl asse de CE2 CM1 à Épinay sur Seine
- Date: Mon, 10 Jun 2013 22:33:01 +0200
J'envoie le bilan n°2 des "coding goûters" de la classe. Le texte est encore
un peu fouillis, mais à force de le réécrire
depuis 3 semaine, je me rend compte que si je cherche sans-cesse à
l'améliorer (le clarifier:), je ne vais jamais rien
envoyer... Bref, je l'envoie en l'état... Ça reste largement lisible, même
s'il y a des redites. Je n'ai pas encore écrit à
contact AT codinggouter.org, mais compte le faire sous peu. Tous les conseils
sont les bienvenus. À priori, la transformation
des AP sarkoziennes en APC Peillonniennes devrait me permettre de monter un
club informatique sur l'école l'année
prochaine: toutes idées d'activités intéressantes sont les bienvenues.
Parenthèse politique: (Au sujet des acronymes AP et APC, je veux bien
discuter discuter de la réforme actuelle de
l'enseignement en primaire et de la nécessité que le débat devienne
réellement public et un peu plus élaboré... Par
exemple, il serait intéressant de discuter sur tout: "refondation", le mot
était très "vendeur électoralement", pour
l'instant, on ne voit pas grand chose qui améliorerait la situation... En
outre, je n'ai pas vu où était la discussion...)
Bilan n°2 du "coding goûter" sans le goûter dans une classe CE2-CM1 à Épinay
sur Seine.
Remarques d'ordre général:
Au sujet du goûter, il en sera organisé(s)? sur une des dernières séance...
Cette question n'est pas réglée
définitivement...
Remarque, le B2I est une guignolade... En cas de dénonciation, je nierai
avoir dit ça, je ne voudrais pas me mettre à dos
une hiérarchie pour qui la recherche n'incombe pas aux OS (ouvriers
spécialisés, ceux de la chaîne chez Taylor :-D, je ne
suis pas mal vu et souhaite conserver mes marges de manœuvres ainsi que ma
vitesse d'avancement de salaire (chez nous on
est payé au mérite donc on ferme sa gueule et je n'ai encore jamais vu une
initiative encouragée :) Je nierai avoir dit ça
aussi :)
Depuis que wheezy est stable, les ordinateurs de la classe le sont aussi et
on a pu réinstaller XFCE, plus convivial pour
les mômes que LXDE (Ils peuvent configurer leur bureau à la souris et ils en
sont très contents).
La première partie fait un bilan des séances de "scratch", la deuxième, parle
de ce qui a été réalisé sur un apprentissage
plus sérieux de l'informatique. J’apprécierais tout conseil ou toute aide
pour un enseignement intelligent de
l'informatique en école élémentaire.
Un aperçu de la motivation des élèves:
Lors de la dernière séance, 15 élèves apprécient de travailler avec scratch,
5 se sont remotivés après avoir été aidés dans
l'avancement de leur projet. 2 élèves restent très démotivés et d'autres
activités leurs ont été proposées. Une dernière
élève arrivée d'Haïti récemment semble n'avoir jamais vu d'ordinateur avant
d'arriver dans la classe: elle est en activités
libres avec tutorat (en gros, elle fait ce qu'elle veut et peut se faire
aider si elle le demande et si quelqu'un est
disponible). En outre, 5 élèves sont devenus des personnes ressources et
aident les autres élèves de façon globalement très
efficace. Ce genre de sondage est relativement aléatoire et dépend de ce qui
s'est passé à chaque séance... Sur un plus
long terme, les résultats sont fluctuants mais il reste un "noyau dur" de 10
à 12 élèves qui apprécient beaucoup. 5 élèves
à travers quelques réinstallations commencent à s'intéresser à s'intéresser
à des techniques plus "pointues" (voir
ci-après)
Au sujet des travaux sur scratch: quelques difficultés et des réussites.
Si ça intéresse quelqu'un, je veux bien diffuser des copies des travaux
réalisés (certains sont aboutis, d'autres encore en
cours).
Je propose ça ici, parce que, je suis mitigé au sujet de la mise en ligne sur
le site dédié aux réalisations sur scratch:
nombreux travaux sont illisibles, du fait, semble-t-il de notre version de
flash... Je trouve étonnant que la lecture en
ligne de travaux réalisés avec un logiciel libre soit conditionné à
l'utilisation de flash.
Sur les travaux des élèves proprement dit, ça progresse. Nous sommes
confrontés à quelques comportements erratiques
"d'objets" et nous ne trouvons toujours pas d'explication: la situation
semble mûre pour contacter
contact AT codinggouter.org. L'idéal serait qu'un (ou des) intervenant(s)
puisse(ent) de temps en temps passer
dans la classe, mon encadrement de l'activité souffre parfois de mes
insuffisances de maîtrise technique (les fameux
comportements erratiques de certains objets)
Suite à la dernière discussion bilan sur les séances de scratch avec les
élèves, ils ressort que :
Les élèves apprécient en fonction de leur maîtrise, certains se plaignent de
ne pas être toujours suffisamment aidé.
Arrivés à un certain niveau de maîtrise, certains élèves apprécient être
confrontés à des difficultés (si elles ne durent
pas trop longtemps, sinon des découragements apparaissent)...
Certains problèmes techniques n'ont pas été résolus:
Nous sommes confrontés, par exemple à des problèmes de trajectoires de
rebonds : au lieu d'avoir choisi, pour les
trajectoires une « boussole » codée de 0 à 360°, on à un « couplage » de 2
demis-cercles normés de 0 à 180° et de -0:) à
-180, ça ne me paraît pas une bonne idée pour l'école primaire.
De même, le repère orthonormé (X,Y) avec le zéro au milieu et des nombres
négatifs ne facilite pas la tâche des élèves les
moins à l'aise.
Normer l'espace avec un zéro en "bas à gauche" et uniquement avec des
nombres positifs faciliterait le travail des élèves
les moins à l'aise.
Parfois, des comportements erratique des « objets » semblent, après relecture
du code, incompréhensibles (J'apprécierai
avoir des détails technique du style:" Si on fait un dessin à l'extérieur,
quelles sont les normes de "taille" à respecter,
je ne les ai pas trouvés (j'ai fais des tests, mais c'est long et chiant et
j'ai paumé les résultats).
La zone qui correspond à l' « objet » n'est pas toujours claire : les
croisements « d'objets » fonctionnent parfois mais
pas de façon certaine (est-elle liée à la taille du « costume » ou non, nous
n'avons pas trouvé et plus généralement, les
test réalisés n'ont pas mené à des résultats concluants, pourtant, nous avons
travaillé avec des formes géométriques de
base)
Remarques sur une formation à la "gestion" des ordis de la classe:
Deux élèves connaissent le mot de passe root des "ordinateurs clients" de
la classe et participent à leur entretient :
montage du partage NFS (que je n'ai pas réussi à automatiser) ainsi que la
mise à jour des ordis, et d'autres manipulations
de la ligne de commande (je pense rajouter 3 élèves à ce "processus", s'ils
ne l'ont pas déjà fait entre eux... Il ne
semble pas...) Il est amusant de constater que la connaissance du mot de
passe root est vécu comme une marque de "noblesse"
et qu'il a (me semble-t-il) fait venir du monde (3 élèves de plus).
je relaye une plainte des élèves "administrateurs": toutes les pages de man
ne sont pas traduites et ils commencent à s'y
intéresser...
(De toute façon, même en français, il faut traduire aussi, mais quand même,
le man en français les rend plus autonomes,
ils ont lu avant de demander des explications, ce qui me permet de les
renvoyer lire après une mini séance de vocabulaire:)
Je ne vois pas comment mettre en place un apprentissage de l'utilisation de
la ligne de commande suffisamment convivial
pour être efficace. Pour l'instant, les élèves "apprentis administrateurs"
utilisent (plus ou moins) les commandes passwd,
cat, nano, mount, killall, man, grep, apt-get update, upgrade et install
(cette dernière commande "m'ennuie" un peu (et
pourtant, elle est indispensable), il y a eu des idioties, eg. KDE sur une
brouette qui n'a plus redémarré avant
suppression:)... Ils ont été sensibilisés aux "pipe" (prononcer à l'anglaise,
je n'ai jamais violé d'enfant, ni d'adulte
d'ailleurs:) et à la, si pratique, auto-complétion. Mais les élèves ne
maîtrisent pas réellement la ligne de commande, au
delà des syntaxes que je leur ai donné et qu'il reproduisent bêtement
fidèlement. On évolue petit à petit vers plus
d'autonomie, mais c'est très lent.
Ils ont découvert « le chaînage » de commande avec & et &&.
Je vais essayer de leur présenter les redirections (la motivation étant
d'automatiser une suite de commandes
répétitives)....
Je leur ai montré un /home/.conkyrc, mais je n'ai pas senti la moindre
motivation...
Cinq élèves on participé à des réinstallations, d'abord en regardant, puis en
installant eux-même... Ils ont, entre autre,
vu ce qu'était une "passerelle" et (plus ou moins) un masque de sous réseau
ainsi qu'un "serveur de noms" (un DNS? J'espère
ne pas avoir dit d'ânerie). Je compte leur présenter le
/etc/apt/sources.list, la mise en place des comptes, etc. .. Et
pour finir, leur laisser tout installer eux-même.
Il me semble qu'il est possible de développer un enseignement sérieux de
l'informatique dès l'école primaire. Une des
limite, est que je ne sais pas où partager ce genre d'expérience pour faire
avancer le shmilblik.
Question sur l'apprentissage de la ligne de commande:
Je ne vais pas m'étendre, ça serai trop long, sur la question des ressorts du
désir d'apprentissage. Je ne citerai que
Bachelard in La formation de l'esprit scientifique (à la louche, pour plus de
précision, lire le livre), "on ne cherche à
apprendre que lorsqu'on en a besoin". Ce que j'ai trouvé sur internet comme
apprentissages de base de la ligne de commande,
n'est pas satisfaisant: les commandes "cd, mkdir, touch" et compagnie, certes
permettent d'obtenir des "résultats", mais
pour des mômes de 8 à 10 ans, ce n'est pas suffisant. Des élèves se sont
motivés cette année, parce qu'ils m'ont vu
remettre en place le réseau de la classe (un disque dur est mort sur l'ancien
serveur et j'ai tout réinstallé (sur un
nouveau, plus récent, avec Debian), parce qu'évidemment la sauvegarde n'avait
jamais été faite :). Ils ont m'ont vu me
documenter, réinstaller, chouiner et dire souvent:"ah, bin, là je ne sais
pas, mais je vais me documenter..." Bref, ils ont
compris l'essentiel : Ça s'apprend. Maintenant, ce qui serait intéressant,
c'est d'arriver à développer des activités
suffisamment motivantes pour que les élèves comprennent qu'un terminal c'est
formidable :)...
Comme je tente de me former à une maîtrise un peu plus sérieuse de GNU/Linux,
je découvre au fur et à mesure des
commandes... par exemple, "wall" me paraît une bonne entrée en matière, mais
(après lecture du man) je ne vois pas comment
l'utiliser sur un partage NFS... Je ne sais si un autre moyen de
communication est possible (sans que j'ai un truc trop
compliqué à mettre en place sur le serveur)... Pourtant, montrer qu'on peut
communiquer autrement qu'avec msn et autre
facebouq... Voire comprendre ce qu'est de communiquer à travers un réseau et
comment présenter ça à des enfants...
Bref, il y a plein de pistes, mais un tas de questions demeurent... Par
exemple, que faire avec geogebra: sur six élèves
(de CM1) qui l'ont testé, seuls deux trouvent ça intéressant et je n'ai pas
d'activités réellement construites...
--- End Message ---
- [DionyLibre] Fw: Premier bilan de l'utilisation de scratch en classe à Épinay sur Seine, Vincent-Xavier JUMEL, 11/06/2013
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