Re: [EDUC] demande d'information

["d.michon" <d.michon AT laposte.net>]

Mais qu'est ce qui empêche d'utiliser un groupe Dispora non relié aux autres grappes ?
Et même si c'est pas la philosophie première de Diaspora c'est pas possible de travailler sur une implémentation  de groupe ?
La disponibilité d'un serveur alors ?
Même chose pour un Etherpad ou un Kolab à la place d'un googledoc utilisé majoritairement par nos étudiants dans leur travaux de projet de groupe collaboratifs ??

Quand je sais le nombre d'heures que je peux passer pour préparer non seulement mes cours et mes contenus, mais en plus sur des projets de scripts, de sites coopératifs et d'essais d'applications pour simplifier la vie de mes élèves, je me demande souvent :
A t on vraiment affaire à des universitaires innovants, et c'est vraiment vrai que ces universités proposent des formations informatiques de niveau master et tout et tout avec des demandes de rendus de projet de développement à leurs étudiants ?

Didier Michon

Le 23/10/2017 à 12:39, Louis-Maurice De Sousa a écrit :

Le 23/10/2017 à 11:17, ArnaudSVT a écrit :

@Louis : il faut rectifier.
Viaeduc n'est pas issu du ministère.. mais de Canopé.

Canopé c'est quand même encore un peu le ministère. :-)

J'y suis, sans recevoir de pub... C'est un outil de travail entre collègues d'académies différentes.

Ces groupes de travail sont identifiés. Et du coup je ne vois pas l'apport de cet outil par rapport à des listes de diffusion, un forum… Bref, j'y ai un compte aussi, et n'y ai vu aucun intérêt et un outil gourmand en temps. Rien que le fait qu'il ne soit pas adossé aux annuaires académiques est une absurdité.

Les éditeurs sont partie prenante du projet. Si ça commence à marcher, ils créeront des groupes. Microsoft® compris.

@tous :Je pensais à un réseau pas forcément ouvert sur le monde, car on peut déjà commencer à apprendre entre nous les rudiments, les avantages et les limites.
M Pesquet fait ce qu'il veut, là n'est pas la question. Chacun est encore libre.. mais pas forcément conscient, notre taf s'arrête là où le choix  est fait en toute connaissance de cause..

Il n'empêche qu'un des attraits pédagogique majeur des outils de réseaux sociaux était de joindre des personnes impossible à joindre. Faire un projet avec une classe qui communique avec Thomas Pesquet, c'est super intéressant pour un prof de sciences. Le problème, c'est que cela doit, aujourd'hui, passer par l'entreprise Twitter®. Tout le monde utilise cela comme un service publique alors que cela ne l'est pas. On a quand même plus de nouvelles de nos ministres par l'intermédiaire de l'entreprise Twitter® que par la voie hiérarchique ou journalistique. Il y a un problème là…

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