Surveillance privatrice

Cas clairement établis de logiciels privateurs qui espionnent l'utilisateur ou le suivent à la trace :

• un logiciel espion dans Windows (http://www.theregister.co.uk/2003/02/28/windows_update_keeps_tabs/) ;
• un logiciel espion dans Angry Birds (http://confabulator.blogspot.com/2012/11/analysis-of-what-information-angry.html) ;
• des logiciels espions dans de nombreuses liseuses – pas seulement dans le Kindle (https://www.eff.org/pages/reader-privacy-chart-2012) ;
• une fonctionnalité du lecteur Flash qui aide les sites web à pister les visiteurs (http://www.imasuper.com/66/technology/flash-cookies-the-silent-privacy-killer/) ;
• la FTC¹ déclare que les appareils mobiles destinés aux enfants ne respectent pas la vie privée (http://arstechnica.com/information-technology/2012/12/ftc-disclosures-severely-lacking-in-kids-mobile-appsand-its-getting-worse/) ;
• un logiciel espion dans les téléphones « VoIP unifiée » (TNT) de Cisco (http://boingboing.net/2012/12/29/your-cisco-phone-is-listening.html) ;
• la plupart des téléphones portables envoient des données de géolocalisation par GPS sur commande à distance, et les utilisateurs ne peuvent pas les en empêcher (http://www.aclu.org/government-location-tracking-cell-phones-gps-devices-and-license-plate-readers).

De plus, de nombreux sites web espionnent leurs visiteurs. Les sites web ne sont pas des programmes, aussi n'est-il absolument pas pertinent de les qualifier de « privateurs » (ou « propriétaires »), mais cette surveillance constitue tout de même un abus.

• Les pages qui contiennent des boutons Like permettent à Facebook de pister les visiteurs de ces pages, même ceux qui n'ont pas de compte Facebook.
• De nombreux sites web évaluent leurs visiteurs pour les réseaux publicitaires qui font du pistage. 85% des 100 plus gros sites web placent chez leurs visiteurs des cookies qui permettent à d'autres sites de les suivre à la trace.