Le monde : "Les logiciels libres doive nt être plus présents dans l'éducation"

[cnestel AT free.fr]

Publié dans le LEMONDE.FR le 25.11.10

Au fil des ans, les logiciels libres sont devenus une 
composante majeure de l'informatique moderne. Les plus 
grands sites du Web sont construits sur un socle de logiciels 
libres et il en ira de même des plateformes de Cloud computing. 
Nous soutenons que le logiciel libre doit être plus présent dans 
l'éducation, à trois égards.

Comme outil pédagogique d'une part, outil de travail d'autre part, 
tant des enseignants, des élèves et des étudiants que des administratifs, 
et enfin comme objet d'étude dans le cadre d'une discipline informatique 
à part entière car se situant au cœur de l'informatique moderne.

Le libre a fait sa place dans le système éducatif français, d'une 
manière significative mais il reste à faire. Dès 1998, un accord-cadre 
signé par le ministère de l'éducation nationale et l'Association francophone 
des utilisateurs de logiciels libres (AFUL), régulièrement reconduit depuis 
lors, soulignait l'intérêt des logiciels libres pour les établissements 
d'enseignement, solutions de qualité, dans une perspective d'économies 
mais aussi de pluralisme technologique.

La suite sur :
http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/11/25/les-logiciels-libres-doivent-etre-plus-presents-dans-l-education_1444598_3232.html

Commentaire perso :
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Cet article amalgame pour ne déplaire à personne cloud computing et
logiciel libre, informatique comme "outil" pédagogique, accord cadre 
qui n'a jamais débouché sur rien si ce n'est en terme d'image de 
pour l'Aful, pluralisme technlogique (entendre : libre et privateur
peuvent cohabiter, logiciels libres sous windows)...

L'auteur, sans doute mal informé que quelques personnes coupées du
terrain, continue de se tromper de cible :

"En cette période de réductions budgétaires, l'éducation nationale 
trouvera des économies importantes en déployant de manière systématique 
des logiciels libres,"

alors même que ce sont les collectivités territoriales qui financent
les équipements et non pas l'éducation nationale.

Tout, dans cet article est confus. L'auteur y réfère :

"Un enseignement de spécialité optionnel "informatique et sciences du 
numériques" a été créé en terminale S. Il entrera en vigueur à la rentrée 
2012. A la fois composante de l'informatique et outil de réflexion pour 
penser les problématiques générales de l'immatériel et de la connaissance, 
le libre y aura naturellement sa place, contribuant à la pluralité 
technologique et à la diversité scientifique inhérentes à l'acte pédagogique."

pour mieux occulter l'interdiction d'enseigner la moindre notion 
information, excepté la validation de compétences coupées des connaissances,
dans tout le reste du système éducatif.

Tout dans cet article est confusion.

Charlie