Accéder au contenu.
Menu Sympa

technique - Re: Utilisation d'OpenOffice en entreprise

Objet : Liste pour les discussions techniques (liste à inscription publique)

Archives de la liste

Re: Utilisation d'OpenOffice en entreprise


Chronologique Discussions 
  • From: vincent.calame AT exemole.fr
  • To: technique AT april.org
  • Subject: Re: Utilisation d'OpenOffice en entreprise
  • Date: Fri, 04 Apr 2008 12:15:57 +0200

Salut,

Pour répondre à la question, je commencerai par analyser le processsus
éditorial de production des documents.

La question la plus importante ; y-a-t-il un seul rédacteur ou plusieurs ?
Dès qu'il y a allers et retours entre des personnes qui ont des habitudes de
travail différentes, les mises en page trop sophistiquées sautent, même en
utilisant le même logiciel (par exemple, si l'une des personnes utilisent
des sauts de page manuels, une autre passe par les listes, une troisième se
contente d'introduire des paragraphes vides à la main).

La seconde question, c'est la qualité du document final nécessaire. S'il
faut quelque chose de léché pour l'impression, le PDF s'impose. Si le
document doit s'insérer dans un processus plus large (avec notamment une
forte probabilité de copier-coller), il faut que le document soit le plus
simple possible. Il n'est pas toujours facile de récupérer de l'information
quand la mise en page est trop sophistiquée.

Personnellement, je me bride sous OpenOffice, je n'en exploite toutes les
possibilités (par exemple, les styles de page qui sont pourtant pas mal du
tout) pour être sûr que le passage au .doc ne pose pas de souci.

Le tout, par rapport au client, c'est d'enrober la chose pour que tout
proposition de changement ne soit pas être sur le registre « je ne peux
pas faire autrement » mais sur le registre « je vous propose une innovation
très pratique ». Dans ton exemple des tableaux imbriqués, peut-être que
la solution serait de passer ça en fichier annexe en format Excel (donc
traduit de Calc à Excel) en proposant des options de tri ou d'autres
traitements qui démontrent que le passage via un tableur est indispensable !
(bon, il faudrait avoir un exemple des tableaux de ton père sous les yeux
pour juger le cas).

Je pars du principe que les personnes en face ne savent utiliser qu'à 10%
les capacités des logiciels et qu'il est donc toujours possible de proposer
une innovation à peu de frais. Et si la personne en face sait très bien
utiliser son logiciel, elle demande en général des données brutes pour
pouvoir les retravailler à sa sauce. Ce sont souvent les gens peu sûr d'eux
qui ont de fortes exigences sur les formats.




Archives gérées par MHonArc 2.6.16.

Haut de le page