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educ - Re: [EDUC] Re: [EDUC] pronote ma joritairement utilisé ?

Objet : Liste de discussion du groupe de travail Éducation et logiciels libres de l'April (liste à inscription publique)

Archives de la liste

Re: [EDUC] Re: [EDUC] pronote ma joritairement utilisé ?


Chronologique Discussions 
  • From: "Marie-Odile Morandi" <mbottoli AT voyager.archi.it>
  • To: <educ AT april.org>
  • Subject: Re: [EDUC] Re: [EDUC] pronote ma joritairement utilisé ?
  • Date: Thu, 19 May 2011 09:27:31 +0200

Bonjour,

Ci-dessous la réponse que j'avais envoyée le 8 mai .

Amicalement
Marie-Odile Morandi



Bonjour,
Si je peux encore me permettre

Il m'est impossible de répondre en ligne à l'ensemble de vos questions.
Les inventaires que vous évoquez ne peuvent être diffusés (sans l'accord de la Direction) et présentent assez peu d'intérêt (sauf pour les éditeurs et intégrateurs).
L'intérêt serait une vue d'ensemble des installations qui sont mises à disposition et des diverses pratiques. Actuellement les choix sont faits localement. Il serait opportun que l'AEFE indique quels sont les produits validés par ses services et conseillés dans les établissements de son réseau.


S'agissant des logiciels, l'ère du Web nous amène assez naturellement à des applications qui s'exécutent dans un navigateur, si possible sans plugin.

Pouvez-vous donner des exemples ?
Le service en ligne « Google docs apps » fait-il partie de la liste de ces applications ?

Il me semble par ailleurs important de ne pas adopter une attitude "intégriste" mais plutôt opportuniste vis-à-vis du logiciel libre.
La première préoccupation doit être de couvrir un besoin (métier, fonctionnel, éducatif...).
Si un logiciel libre est disponible et que les conditions d'exploitation (à un coût raisonnable) sont réunies, alors pourquoi acheter un produit propriétaire ?

Quelle est l'entité qui contrôle que les conditions ici énoncées sont bien réunies ? Certains à priori persistent et entraînent une grande méfiance vis-à-vis des solutions libres. Pourtant l'énergie dépensée pour mettre en œuvre l'une ou l'autre des solutions est probablement identique.

il est surtout essentiel d'insister sur les concepts: trop d'enseignants ont oublié les termes "traitement de texte", "tableur", "diapositive" pour les remplacer par les noms de logiciels propriétaires que je ne citerai pas...

Hélas ! Hélas ! Mais comment faire pour inverser la tendance ; c'est un travail de longue haleine car la lutte est inégale et il faut souvent veiller à ne pas froisser les susceptibilités.

Il me semble par ailleurs important de réfléchir en adoptant une vision globale.
Pardon pour les termes qui suivent mais il est préférable d'agir en s'inscrivant dans un schéma directeur des SI, avec une gouvernance (si possible partagée avec l'ensemble des acteurs) et un schéma d'urbanisation du SI visant une cible définie (partagée avec l'ensemble des parties prenantes).

Démarche idéale qui demande une grande préparation de la part des acteurs, des compétences et une dose d’honnêteté intellectuelle.

Si vous êtes dans le monde de l'éducation, vous devriez pouvoir trouver plusieurs points d'appui pour avancer suivant cette démarche.

Effectivement j'appartiens au monde de l'Éduction... certains pas ont déjà été faits, mais la route est encore longue !

Amicalement
Marie-Odile Morandi


----- Original Message ----- From: Jean-Yves LIGNIER
To: Marie-Odile Morandi
Cc: educ AT april.org
Sent: Thursday, May 05, 2011 11:00 AM
Subject: [EDUC] Re: [EDUC] pronote majoritairement utilisé ?


Bonjour,

Il m'est impossible de répondre en ligne à l'ensemble de vos questions.
Les inventaires que vous évoquez ne peuvent être diffusés (sans l'accord de la Direction) et présentent assez peu d'intérêt (sauf pour les éditeurs et intégrateurs).

Il est préférable d'attacher de l'importance au respect de quelques principes que l'on peut énoncer avec quelques mots clés:
* respects des standards ouverts (w3c, ietf...)
* respects de formats ouverts (open document...)
S'agissant des logiciels, l'ère du Web nous amène assez naturellement à des applications qui s'exécutent dans un navigateur, si possible sans plugin. Le plus souvent il faudra aussi s'intéresser à un module d'authentification basé sur un annuaire LDAP standard (pour gérer les droits d'accès) et la capacité du système à interagir avec d'autres SI standards à travers des web services ou des API (fiables et bien documentées) car les systèmes sont de plus en plus interconnectés (le respect des standards permet l'interopérabilité).

La solution éditée par Fronter, évoqué dans mon précédant courriel, semble respecter ces principes et présente l'avantage d'être modulaire ce qui permet d'offrir progressivement des fonctionnalités.
Le projet Lili porté par le conseil régional de l'île de France semblait prometteur l'an passé mais je n'ai pas eu l'occasion de suivre l'avancement de son implémentation dans les lycées.

Il me semble par ailleurs important de ne pas adopter une attitude "intégriste" mais plutôt opportuniste vis-à-vis du logiciel libre.
La première préoccupation doit être de couvrir un besoin (métier, fonctionnel, éducatif...).
Si un logiciel libre est disponible et que les conditions d'exploitation (à un coût raisonnable) sont réunies, alors pourquoi acheter un produit propriétaire ?
S'agissant de leur utilisation dans le domaine éducatif, s'il est essentiel de les sensibiliser sur cette question de liberté des usages et de propriété (qui est propriétaire d'un plan dessiné avec Autocad si seul ce logiciel permet de le modifier ?), il est surtout essentiel d'insister sur les concepts: trop d'enseignants ont oublié les termes "traitement de texte", "tableur", "diapositive" pour les remplacer par les noms de logiciels propriétaires que je ne citerai pas...

Il me semble par ailleurs important de réfléchir en adoptant une vision globale.
Pardon pour les termes qui suivent mais il est préférable d'agir en s'inscrivant dans un schéma directeur des SI, avec une gouvernance (si possible partagée avec l'ensemble des acteurs) et un schéma d'urbanisation du SI visant une cible définie (partagée avec l'ensemble des parties prenantes).

Si vous êtes dans le monde de l'éducation, vous devriez pouvoir trouver plusieurs points d'appui pour avancer suivant cette démarche.

Bonne continuation,
Cordialement,

JYL



Le 3 mai 2011 16:14, Marie-Odile Morandi <mbottoli AT voyager.archi.it> a écrit :

Bonjour,

Puis-je me permettre ?

Possédez-vous un inventaire des divers ENT utilisés dans les lycées du réseau AEFE ? Ou même simplement un inventaire de la façon dont sont gérés les réseaux informatiques pédagogiques dans ces lycées ? Un inventaire des outils mis à disposition des communautés éducatives ?

Pouvez-vous donner des exemples de produits auxquels vous accordez une préférence et qui seraient à préconiser et développer ?
D'autre part, quels sont les produits à bannir, en particulier auprès de mineurs en formation dans le domaine "Tic" ?

Sincère dévouement.
Marie-Odile Morandi


De cette analyse, 2 solutions émergent:
s1: conserver l'usage de ces logiciels propriétaire en se limitant à la fonction emploi du temps et en privilégiant des ENT libres pour les autres fonctions ou, pour les chefs d'établissements qui ont peur du modèle d'assurance du libre, de choisir un ENT propriétaire s'appuyant sur les technologies Internet (Fronter) et fonctionne sur toutes les plateformes (Linux, Mac et même Windows!) pourvu qu'un navigateur relativement récent soit installé




s2: convaincre le MEN ou plusieurs rectorats de mettre en commun leurs moyens pour fabriquer un module de gestion d'emploi du temps libre en associant une SSII qui produit du code de qualité avec une unité de recherche universitaire capable de mobiliser une équipe pour optimiser la partie algorithmique => beau challenge !

Bon courage à tous et bravo pour votre engagement !

Amicalement,

Jean-Yves LIGNIER
AEFE/DSI

Le 14/04/2011 16:55, cnestel AT free.fr a écrit :
----- "Gilles Lassus" <glassus AT gmail.com> a écrit :

Salut Gilles
Une question toute bête que j'ai omis de poser à mon chef
d'établissement.
Quelle est la procédure en cas d'alerte incendie ?
Le protocole nous imposait de quitter la salle avec le cahier de
textes sous le bras, afin de compter les élèves au point de rassemblement et de
comparer avec l'appel effectué en début d'heure. Et maintenant ? Des collègues
sur la liste ont-ils clarifié ce point dans leur établissement ?
Réflexion des plus pertinentes qui prouve que les règles sociales, dans bien
des domaines, n'ont toujours pas rattrapé les mutations technologiques.

L'école numérique reste encore un chantier à penser.
C'est dans ce contexte de monde en mouvement que nous devrions, à mon
humble avis, penser les logiciels libres...

Un exemple. Lors des dernières Rencontres de l'Orme, Jean-Pierre Archambault
a animé un atelier avec Bernard Lang et Jean-Claude Guédon où furent notamment
évoqués le statut des manuels scolaires et des éditeurs à l'ère du
numérique sur l'espace thématique des logiciels libres...

La notion même de manuel scolaire tel qu'il pouvait encore se concevoir à l'ère
de l'imprimerie va se modifier. Guédon, dans un cadre universitaire, développe
un ensemble de modules que les enseignants peuvent combiner à leur guise.
On n'est donc plus dans un cadre linéaire, un produit fini.
Moi même, en tant que professeur de technologie ne travaille avec aucun
manuel. Mon manuel c'est Internet.

De leur côté, les éditeurs vont chercher à encapsuler dans des usages
prédéterminés. Par exemple en louant des "manuels numériques" à l'année,
copie conforme des manuels papier sur des tablettes numériques que les médias
et les lobbies ne manqueront pas de présenter comme de l'innovation.

Même si l'usage de tels manuels linéaires peut encore s'avérer utiles, il me semble
que nous devons davantage penser les savoirs sur le mode du réseau.

L'enjeu de l'informatique nomade, des tablettes, va devenir pour nous un
enjeu central et de d'autant plus, comme tu le soulignes que l'on va
se trouver confrontés à des logiques de convergences matérielles
et logicielles. D'où effectivement l'importance de penser également
les matériels comme par exemple l'Archos :

Cela aussi milite, je crois, pour la solution nomade. Pourquoi ne pas
imaginer (soyons fou), que l'EN demande au français Archos de produire
à bas coût un terminal mobile, aux capacités limitées mais suffisantes pour
faire tourner simplement un navigateur ?
Le chantier reste totalement ouvert.

Librement,
Charlie


--------------------------------------------------------------------------


Aucun virus trouvé dans ce message.
Analyse effectuée par AVG - www.avg.fr
Version: 10.0.1321 / Base de données virale: 1500/3611 - Date: 02/05/2011

----- Original Message ----- From: <cnestel AT free.fr>
To: "jean-yves lignier" <jean-yves.lignier AT aefe.fr>
Cc: <educ AT april.org>; "Marie-Odile Morandi" <mbottoli AT mail.archi.it>
Sent: Thursday, May 19, 2011 7:37 AM
Subject: Re: [EDUC] Re: [EDUC] pronote majoritairement utilisé ?


Réponse à ton message avec du retard.
En relisant avec attention ton message, compte
tenu de la complexité et de la polysémie du terme
ENT qui peut parfois recouvrir des acceptions
contradictoires, dont celle de réseau global qui
renvoie au cloud computing, il devient très difficile
de parler d'ENT Libre sans procéder à de nombreux
amalgames.

Il me semble que ton point de vue recouvre le plus
petit dénominateur commun qui a le mérite d'une
cohérence.

Aussi, pour que ce message ne puisse pas se perdre
dans l'oubli du flux des listes, serait-il possible
que tu le publies sur le Wiki du groupe de travail
Education sous une rubrique ENT Libre ?

Amicalement,
Charlie



----- "Jean-Yves LIGNIER" <jean-yves.lignier AT aefe.fr> a écrit :

Bonjour,

Il m'est impossible de répondre en ligne à l'ensemble de vos
questions.
Les inventaires que vous évoquez ne peuvent être diffusés (sans
l'accord de
la Direction) et présentent assez peu d'intérêt (sauf pour les
éditeurs et
intégrateurs).

Il est préférable d'attacher de l'importance au respect de quelques
principes que l'on peut énoncer avec quelques mots clés:
* respects des standards ouverts (w3c, ietf...)
* respects de formats ouverts (open document...)
S'agissant des logiciels, l'ère du Web nous amène assez naturellement
à des
*applications qui s'exécutent dans un navigateur, si possible sans
plugin*.
Le plus souvent il faudra aussi s'intéresser à un module
d'authentification
basé sur un annuaire LDAP standard (pour gérer les droits d'accès) et
la
capacité du système à interagir avec d'autres SI standards à travers
des *web
services* ou des *API* (fiables et bien documentées) car les systèmes
sont
de plus en plus interconnectés (le respect des standards permet
l'interopérabilité).

La solution éditée par Fronter, évoqué dans mon précédant courriel,
semble
respecter ces principes et présente l'avantage d'être modulaire ce
qui
permet d'offrir progressivement des fonctionnalités.
Le projet Lili porté par le conseil régional de l'île de France
semblait
prometteur l'an passé mais je n'ai pas eu l'occasion de suivre
l'avancement
de son implémentation dans les lycées.

Il me semble par ailleurs important de ne pas adopter une attitude
"intégriste" mais plutôt opportuniste vis-à-vis du logiciel libre.
*La première préoccupation doit être de couvrir un besoin* (métier,
fonctionnel, éducatif...).
Si un logiciel libre est disponible et que les conditions
d'exploitation (à
un coût raisonnable) sont réunies, alors pourquoi acheter un produit
propriétaire ?
S'agissant de leur utilisation dans le domaine éducatif, s'il est
essentiel
de les sensibiliser sur cette question de liberté des usages et de
propriété
(qui est propriétaire d'un plan dessiné avec Autocad si seul ce
logiciel
permet de le modifier ?), il est surtout* essentiel d'insister sur
les
concepts*: trop d'enseignants ont oublié les termes "traitement de
texte",
"tableur", "diapositive" pour les remplacer par les noms de logiciels
propriétaires que je ne citerai pas...

Il me semble par ailleurs important de réfléchir en adoptant une
vision
globale.
Pardon pour les termes qui suivent mais il est préférable d'agir en
s'inscrivant dans un schéma directeur des SI, avec une gouvernance
(si
possible partagée avec l'ensemble des acteurs) et un schéma
d'urbanisation
du SI visant une cible définie (partagée avec l'ensemble des parties
prenantes).

Si vous êtes dans le monde de l'éducation, vous devriez pouvoir
trouver
plusieurs points d'appui pour avancer suivant cette démarche.

Bonne continuation,
Cordialement,

JYL


Le 3 mai 2011 16:14, Marie-Odile Morandi <mbottoli AT voyager.archi.it> a
écrit
:

> Bonjour,
>
> Puis-je me permettre ?
>
> Possédez-vous un inventaire des divers ENT utilisés dans les lycées
du
> réseau AEFE ? Ou même simplement un inventaire de la façon dont sont
gérés
> les réseaux informatiques pédagogiques dans ces lycées ? Un
inventaire des
> outils mis à disposition des communautés éducatives ?
>
> Pouvez-vous donner des exemples de produits auxquels vous accordez
une
> préférence et qui seraient à préconiser et développer ?
> D'autre part, quels sont les produits à bannir, en particulier
auprès de
> mineurs en formation dans le domaine "Tic" ?
>
> Sincère dévouement.
> Marie-Odile Morandi
>
>
> De cette analyse, 2 solutions émergent:
> s1: conserver l'usage de ces logiciels propriétaire en se limitant à
la
> fonction emploi du temps et en privilégiant des ENT libres pour les
autres
> fonctions ou, pour les chefs d'établissements qui ont peur du
modèle
> d'assurance du libre, de choisir un ENT propriétaire s'appuyant sur
les
> technologies Internet (Fronter <http://fr.fronter.info/>) et
fonctionne
> sur toutes les plateformes (Linux, Mac et même Windows!) pourvu
qu'un
> navigateur relativement récent soit installé
>
>
>
>
>
> s2: convaincre le MEN ou plusieurs rectorats de mettre en commun
leurs
> moyens pour fabriquer un module de gestion d'emploi du temps libre
en
> associant une SSII qui produit du code de qualité avec une unité de
> recherche universitaire capable de mobiliser une équipe pour
optimiser la
> partie algorithmique => beau challenge !
>
> Bon courage à tous et bravo pour votre engagement !
>
> Amicalement,
>
> Jean-Yves LIGNIER
> AEFE/DSI
>
> Le 14/04/2011 16:55, cnestel AT free.fr a écrit :
>
> ----- "Gilles Lassus" <glassus AT gmail.com> <glassus AT gmail.com> a
écrit :
>
> Salut Gilles
>
> Une question toute bête que j'ai omis de poser à mon chef
> d'établissement.
> Quelle est la procédure en cas d'alerte incendie ?
> Le protocole nous imposait de quitter la salle avec le cahier de
> textes sous le bras, afin de compter les élèves au point de
rassemblement et de
> comparer avec l'appel effectué en début d'heure. Et maintenant ?
Des collègues
> sur la liste ont-ils clarifié ce point dans leur établissement ?
>
> Réflexion des plus pertinentes qui prouve que les règles sociales,
dans bien
> des domaines, n'ont toujours pas rattrapé les mutations
technologiques.
>
> L'école numérique reste encore un chantier à penser.
> C'est dans ce contexte de monde en mouvement que nous devrions, à
mon
> humble avis, penser les logiciels libres...
>
> Un exemple. Lors des dernières Rencontres de l'Orme, Jean-Pierre
Archambault
> a animé un atelier avec Bernard Lang et Jean-Claude Guédon où furent
notamment
> évoqués le statut des manuels scolaires et des éditeurs à l'ère du
> numérique sur l'espace thématique des logiciels libres...
>
> La notion même de manuel scolaire tel qu'il pouvait encore se
concevoir à l'ère
> de l'imprimerie va se modifier. Guédon, dans un cadre universitaire,
développe
> un ensemble de modules que les enseignants peuvent combiner à leur
guise.
> On n'est donc plus dans un cadre linéaire, un produit fini.
> Moi même, en tant que professeur de technologie ne travaille avec
aucun
> manuel. Mon manuel c'est Internet.
>
> De leur côté, les éditeurs vont chercher à encapsuler dans des
usages
> prédéterminés. Par exemple en louant des "manuels numériques" à
l'année,
> copie conforme des manuels papier sur des tablettes numériques que
les médias
> et les lobbies ne manqueront pas de présenter comme de
l'innovation.
>
> Même si l'usage de tels manuels linéaires peut encore s'avérer
utiles, il me semble
> que nous devons davantage penser les savoirs sur le mode du réseau.
>
> L'enjeu de l'informatique nomade, des tablettes, va devenir pour
nous un
> enjeu central et de d'autant plus, comme tu le soulignes que l'on
va
> se trouver confrontés à des logiques de convergences matérielles
> et logicielles. D'où effectivement l'importance de penser également
> les matériels comme par exemple l'Archos :
>
>
> Cela aussi milite, je crois, pour la solution nomade. Pourquoi ne
pas
> imaginer (soyons fou), que l'EN demande au français Archos de
produire
> à bas coût un terminal mobile, aux capacités limitées mais
suffisantes pour
> faire tourner simplement un navigateur ?
>
> Le chantier reste totalement ouvert.
>
> Librement,
> Charlie
>
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> Aucun virus trouvé dans ce message.
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