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educ - Re: [EDUC] Bonjour!

Objet : Liste de discussion du groupe de travail Éducation et logiciels libres de l'April (liste à inscription publique)

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Re: [EDUC] Bonjour!


Chronologique Discussions 
  • From: Louis-Maurice De Sousa <louis.de-sousa AT pi-et-ro.net>
  • To: educ AT april.org
  • Subject: Re: [EDUC] Bonjour!
  • Date: Sun, 11 Jan 2015 11:02:25 +0100

Le 11/01/2015 03:12, André Salaün a écrit :
Le Sun, 11 Jan 2015 01:03:48 +0100
Larbi BOUAICHA <larbi.bouaicha AT free.fr> a écrit:

Je suis moi même parent d'élève et j'essaye de faire avancer cette
notion dans les écoles que mes enfants fréquentent auprès de la
mairie

Sauf que ce n'est pas à la mairie de décider des logiciels que nous
utilisons, pas plus que des livres d'ailleurs ou de la taille des
cahiers.
Ce n'est pas la première fois que j'ai à faire cette réponse à des profs
du secondaire. Et je trouve à ce sujet la position de certains assez
curieuse.

C'est la même chose dans le secondaire. La collectivité ne décide en rien des logiciels ni des livres.

Quant aux systèmes d'exploitations privateurs s'il ne constituaient
pas un packaging avec le matériel, ce serait la même chose. Je n'ose
même pas parler des tablettes.

Mais les choix des collectivités peuvent infléchir cela. Même avec le peu d'écho dans les lycées qu'a eu cette initiative, le fait que la Région Île-de-France impose un double-démarrage a forcément un impact sur les fournisseurs. Le résultat est qu'il est facile de déployer, si on le souhaite du GNU/Linux. Car les machines sont compatibles.

Le problème pour les os n'étant pas les "professeurs des écoles" mais la
structure même du marché comme à l'extérieur de l'école, avec en
prime, éventuellement, une incompétence certaine des décideurs locaux
et l'idée que des trucs bancals ça suffit pour de "jeunes enfants".
Comme si la qualité d'un infrastructure devait être liées à la taille
des utilisateurs.

Certes, mais cela offre beaucoup de moyens d'action.

J'ajouterai qu'à l'école, si quelqu'un est compétent pour maintenir un
réseau, c'est encore pire que dans le secondaire, puisque c'est 0h
0min 0 sec qui peuvent être accordées pour réaliser cette tâche. Il faut
donc s'accrocher sérieusement. Et je sais de quoi je parle.

C'est parfois pareil dans le second degré avec un taux d'équipement qui n'a rien à voir. Un EPLE à plus de 100 machines devient courant.
Il n'en reste pas moins vrai qu'il « faut s'accrocher sérieusement » :-)


--

Louis-Maurice De Sousa



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