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educ - Re: Re : Re: Re : Re: [EDUC]M émoire étudiant : Logiciel Libre et enseignement su périeur

Objet : Liste de discussion du groupe de travail Éducation et logiciels libres de l'April (liste à inscription publique)

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Re: Re : Re: Re : Re: [EDUC]M émoire étudiant : Logiciel Libre et enseignement su périeur


Chronologique Discussions 
  • From: "d.michon" <d.michon AT laposte.net>
  • To: cnestel AT free.fr, educ AT april.org
  • Subject: Re: Re : Re: Re : Re: [EDUC]M émoire étudiant : Logiciel Libre et enseignement su périeur
  • Date: Wed, 07 Mar 2012 11:14:02 -0300

Un exemple !

A qui appartiennent le travaux des étudiants sur la mise en place de Koha dans leurs universités facs et écoles ?
On parle de Centrale , de l'ENS ..... De la BNS !!! du CNRS .... et mon école du primaire ? et celles de son pays d'origine ?
(E plus Koha n'a même pas sa carte de séjour ni de résident ... :-D )
Faut qu'on arrête tout ?

Parce qu'il y a aussi des adaptation de script en pearl en Phyton en PHP sans parler des bidouilles sur les rentrées de données ou la migration d'anciennes bases de données ...

Tout ça sur la liste d'entraide Koha en live/

Normalement à l'association Koha !
Mais les bases de données ne peuvent servir qu'à leur propriétaires ...

Logique ?

Didier Michon

Le 07/03/2012 10:49, cnestel AT free.fr a écrit :
----- Briand Michel<Michel.Briand AT telecom-bretagne.eu> a écrit :
Bonjour

Je n'ai surement pas été assez précis

J'esaie de reformule les deux questions :

En projet à l'école les élèves avec un statut étudiant développent à
l'école du code sur un projet avec deux encadrants écoles (de deux
départements différents) et un référent entreprise "client".
Le sujet est liée à un problème qui intéresse l'entreprise
Est ce que nous pouvons proposer que le code soit mis en GPL par les
étudiants compte tenu de ce co-encadrement
il s'agit bien du code et non du droit d'auteur sur une oeuvre.
Michel,

On ne peut pas séparer la mise du code sous GPL et la question
juridique du droit d'auteur. L'un découle de l'autre.

Si l'on s'en tient au droit d'auteur, condition nécessaire à
la mise sous GPL, ce n'est pas une question de co-encadrement mais,
comme j'ai essayé de le dire dans mon post précédent du
"matériel de conception préparatoire" qui incluent "le le dossier
d'analyse et les schémas décrivant les traitements à effectuer".

De ce fait, le droit patrimonial appartient à celui qui a pris
l'initiative de le créer et de le réaliser et pas forcément à
celui qui code qui ne peut faire valoir que ses droits moraux.

Il me semble donc nécessaire d'établir préalablement un contrat
(qui peut être très court) entre les deux parties à l'initiative du
"matériel de conception préparatoire" pour qu'avec l'accord du
stagiaire et/ou de l'étudiant, le logiciel soit placé sous GNU GPL.

Cela étant dit, si pour le développement il y a utilisation
de briques logicielles libres déjà existantes, le problème ne se pose même
plus : c'est la GPL.

De plus, cela peut être des plus pédagogiques de demander à l'étudiant
et/ou au stagiaire avant de refaire le monde de A à Z, de rechercher
l'existant, de partir de l'état de l'art.
Le problème se pose en revanche si c'est une création nouvelle.
Par exemple l'Ecole centrale de Paris à l'initiative de VLC a placé
le projet sous GNU GPL et l'April à l'époque avait envoyé une lettre
de remerciement au Directeur de l'Ecole centrale de Paris.


Et un prolongement de cette question concerne les apprentis qui sont
des salariés de l'entreprise payés par l'entreprise (avec un complément
d'état) sur un salaire identique partout en France et qui dépend de
l'age et non du diplôme.
L'étudiant-apprenti est-il propriétaire du code qu'il développe sur un
projet durant la partie alternance qui se déroule à l'écol ?
S'il est entièrement l'auteur de son projet, là Didier a raison.

Un stagiaire qui est en situation de stage s'il est dans le cadre d'un
formation (les fameux plans d'aide au replacement ou de promotion
sociale) n'est pas lié intellectuellement à son entreprise pendant les
temps de sa formation puisque ses revenus sont "en principe " reversés
par les organismes des fonds d'aide à la formation.
Sinon comment font les stagiaires s'il doivent aller dans une autre
entreprise ? Ils seraient par exemple encore liés au secret
professionnel ?

Ou alors s'agit il d'une formation interne commandée par la dite
entrepris et le problème ne s'est pas posé puisqu'il sont formés au
sein de l'entreprise.

Didier Michon
Amicalement,
Charlie

PS : repose toi bien.




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