Re: [EDUC] Évaluation et administration

["d.michon" <d.michon AT laposte.net>]

Dans le cas des université et dans les entreprises on trouve les mêmes dispositifs et les problématiques semblables au niveau de la gestion des emplois du temps.
Sait on quel solutions y sont utilisées.
"Claroline" propose en effet différentes solutions pour l'entreprise en plus des GED la compta et les plannings.
Lotus fit cela également mais pas en open source.

Par rencontre est-ce encore d'actualité de se demander quelles applications utiliser pour les livrets numériques surtout dans le primaire et au collège, puisqu'à la rentrée la gestion planifiée des évaluations se fera sur un livret unique nationalisé, centralisé et normalisé ?

De même pour les onze ressources utilisables en lignes pour les cycles 3 et 4 (toutes commerciales) dont les listes sont déjà choisies ?

(Manque plus que le compteur de temps passé devant le détecteur de présence des enseignants sur le cahier de texte et celui de préparation électronique .... ;-)

Didier Michon

Le 22/05/2016 06:33, Louis-Maurice De Sousa a écrit :

Le 21/05/2016 09:44, nparizet AT april.org a écrit :

Bonjour,

j'ai l'impression qu'avec la réforme, un logiciel va encore gagner des
parts de marché dans les établissements scolaires. Je veux parler de
Pronote.

Comme il centralise la gestion des absences, les notes, le socle… et
qu'il a une position dominante sur le marché, il est déjà bien parti,
mais en plus, au retour des formations, j'ai des échos de collègues qui
me disent que pour la gestion des EPI, AP…pronote est déjà prêt (d'après
les formateurs).

Que les fonctionnalités soient là, c'est probable. Maintenant, que ce soit pertinent, pratique, utilisable facilement, c'est moins sûr.

Est-ce normal de faire la promotion d'un tel logiciel en formation ?

Avez-vous entendu ce discours dans vos formations ?

Dans mon établissement, on n'utilise plus Gepi ni Sacoche vu que Pronote
nous avait été imposé. J'appréciai ces outils mais je me demande si une
«fusion» de ces deux logiciels aurait permis de «concurrencer» plus
facilement Pronote.

Le problème n'est pas tellement Pronote®. C'est EdT® qui créé la dépendance à ces outils. Et le seul moyen de le concurrencer, serait de lancer un projet de recherche universitaire, libre, sur le sujet. Projet qui, sur le plan de la recherche opérationnelle et des mathématiques appliquées, serait très intéressant. Àmha.
EdT® est assez inefficace. Il faut plusieurs dizaines d'heures de calcul pour générer les emplois du temps. Mais on bascule de EdT® à Pronote® très facilement.

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